Mes mots... (Une fois n'est pas coutume) La

11 juin 2008

Mes mots... (Une fois n'est pas coutume) La

Mes mots...

(Une fois n'est pas coutume)

La veille de notre rencontre je pense déjà a la tenue que tu vas porter, j’imagine toujours la façon dont se déroulera notre entrevue, le matin du dit jour en prenant ma douche je fantasme déjà sur ton cul, sur tes mamelles gonflées, sur ta bouche gourmande, je me vois déjà en train de te saisir les hanches pour te faire gémir quand mon gode ceinture viendra s’enfoncer en toi…

Je sais que toi aussi tu y penses, je sais que tu as déjà passé la soirée à te préparer à me recevoir, je sais que tu as rêvassé en préparant ta rondelle et je sais aussi que la matinée tu es surexcitée en faisant ton lavement….

J’essaye toujours de m’occuper le matin avant de venir te rejoindre, pour que le temps passe plus vite, pour qu’enfin il soit 13h et que je pousse la porte de la chambre d’hôtel que tu auras pris soin de laisser ouverte…

Tu sais qu’aujourd’hui tu as une punition à expier et je te soupçonne de savoir te faire très docile ces jours là…. Je rentre dans la chambre et te vois a 4 pattes sur le lit, sage, résolue en attendant ta pénitence, je souris de te voir ainsi, ta tenue est encore une fois mieux que je ne l’avais imaginé et ta position me plait…

Je cache mon trouble pour ne pas me laisser attendrir et sors mes affaires, tu ne bouges pas…. restes en position…. Je te mets le bâillon boule, le signe que la punition sera sévère, celui-ci t’empêchera de râler et en plus j’adore quand il te fait baver…je te mets également tes pinces aux mamelles agrémentées de poids, la position a 4 pattes permet de bien les étirer…

Je prend le martinet, je sais que tu le crains, tu ne bouges pas quand le premier coup vient claquer ton cul tendu, il s’en suivra 9 autres, plus cinglants les uns que les autres… les boursoufflures apparaissent, j’aime quand tes fesses prennent de la couleur, ça provoque chez moi une vive bouffée d’excitation et j’enfile mon gode ceinture, je sais que tu reconnais le bruit, (il faudra un jour que je pense a te priver de l’ouïe pour te surprendre d’avantage !!) tu tends ta croupe pour me recevoir, je vois dans le miroir d’en face que tu as fermé les yeux, tu es totalement a moi, je me retire pour apprécier la vue et j’enfile un gant, là aussi je regrette que tu puisses reconnaître au bruit ce qui va suivre….

Mon impatience et ton excitation nous permette rapidement de ne faire qu’un, mon poing est aspiré, je suis bien là, je tourne, accélère, ralenti, ressors, entre à nouveau, m’extasie sur ta capacité à t’ouvrir… Il fait bon d’être en toi…. Je te retire ton bâillon et nous continuons à jouer, l’après midi nous appartient...

tu m’appartiens....

(...)

Ta Maitresse

Posté par My_Will à 19:49 - Commentaires […] - Permalien [#]

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